Le jour d’après : apocalypse climatique à New York !

Oubliez le réchauffement climatique ! Le jour d'après met en scène le retour cataclysmique de l'ère glaciaire. Et c'est à New York que le pire est à venir.

L’histoire du Jour d’après

  • Sorti en 2002, Le jour d’après a été réalisé par Roland Emmerich, le grand spécialiste du film catastrophe à New York. En 1996, Roland Emmerich a effectivement laissé les extraterrestres détruire la ville dans Independence Day et il a livré New York à la furie d’un monstre effroyable dans Godzilla en 1998.
  • Cette fois, ni extraterrestre ni monstre : c’est la nature qui s’attaque à New York ! Un peu partout dans le monde, les stations météorologiques constatent une chute brutale des températures. Le climatologue Jack Hall (Dennis Quaid) tire très vite la sonnette d’alarme : la Terre entre soudainement dans une ère glaciaire. Il presse le Président des États-Unis d’agir…
  • L’ensemble de l’hémisphère Nord subit la chute sans précédent du thermomètre mais l’essentiel de l’action du film reste centrée sur le fils de Jack Hall, étudiant à New York. Son père réussira-t-il à le sauver ?

New York dans Le jour d’après

  • L’arrivée soudaine de l’ère glaciaire est mise en scène par des effets spéciaux absolument bluffants. La glace grignote les gratte-ciels, à commencer par l’Empire State Building, et la skyline se métamorphose en banquise.
  • Le quartier de Midtown est lui aussi méconnaissable. Dans une scène d’anthologie, un raz-de-marée engloutit la Fifth Avenue, provoquant le naufrage d’un navire russe entre les immeubles.
  • Autre star du film : la New York Public Library, la bibliothèque centrale de New York. C’est là que se réfugient le fils de Jack Hall, ses amis et une poignée de survivants new-yorkais. Je vous avoue que, depuis le film, je ne peux plus parcourir la bibliothèque sans penser au film !
  • Enfin, comme dans La planète des singes, la fin du film offre une vision apocalyptique de la statue de la Liberté. Miss Liberty aussi grelote ! Au passage, vous noterez une erreur dans la mise en scène : alors que Jack Hall passe devant la statue de la Liberté et se dirige vers Manhattan en remontant la baie de New York transformée en banquise, l’instant d’après, il entre dans Manhattan au niveau de l’Empire State Building, bien plus au Nord. Les deux endroits ont été rapprochés pour un effet plus saisissant. Mais pas de quoi laisser les fans de glace !

La bande annonce du Jour d’après

L’affiche du film

Jour d'apres film
L’affiche du Jour d’après. (Photo DR)
Didier Forray
Journaliste spécialiste du tourisme, j'ai fondé le site CNEWYORK en 1999 et je suis aussi l'auteur du guide de référence DESTINATION NEW YORK.

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